Dès le IXe siècle, l’Église accomplit dans son rituel du jour la bénédiction des rameaux et la procession des fidèles, issue de la liturgie de Jérusalem.
Les rameaux verdoyants, signes de vitalité, sont déposés sur les tombes au cimetière (https://www.ed-funeraire-49.fr/entretien-fleurissement/) ou accrochés aux crucifix dans les maisons.
L’hymne Gloria, Laus et Honor est chanté pendant la procession des rameaux. La tradition chrétienne aujourd’hui veut que l’on emporte, après la messe, les rameaux bénis, pour en orner les croix dans les maisons.
La fête des Rameaux a une double face : glorieuse et douloureuse.
En effet, elle commémore deux événements contradictoires : l’entrée solennelle de Jésus à Jérusalem, accueilli comme un roi, et sa passion et sa mort sur la croix.
Lors de son arrivée à Jérusalem, six jours avant la fête de la Pâques juive, Jésus et acclamé. La foule agite des palmes et dépose des manteaux sous les pas du petit âne qui le porte, comme au passage d’un roi.
Une fête très attendue par les chrétiens qui dévoilent, ce jour là, leur plus belle branche de buis ! « Porche d’entré » sous lequel les chrétiens passent pour entrer dans la Semaine sainte et se diriger vers Pâques, le dimanche des Rameaux attire les fidèles en nombre.
C’est justement pour rappeler les palmes qui ont servi à tapisser le chemin emprunté par le Christ.
Symbole de vie, le rameau n’a rien d’’un porte-bonheur.
Il fait entrer le Christ ressuscité dans les maisons.
Le dimanche des Rameaux se mêle aux traditions locales dans le monde entier. À Haïti, par exemple, les chrétiens arborent des grandes gerbes de palmiers. Au Paraguay, celles-ci sont ornées de fleurs tressées. #bonheur #rameaux #fleurissement #nettoyagepierrestombales #tombes #sepultures #entretientombes #prestationdeservice #serviceauxfamillesendeuillees #hommage #memoires
